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Des formations prisées mais un secteur fragile
Si les formations pour devenir maître-verrier sont très prisées, le secteur des métiers du vitrail est "tout petit", avec peu de potentiel d'embauche dans les entreprises.
"Pour les grand chantiers de restauration/conservation, nous sommes dix-quinze ateliers dans toute la France à être en concurrence. Mais pas toujours sur les mêmes édifices, car ça dépend des régions. Nous par exemple, nous n'allons jamais dans l’est de la France ; d’autres ateliers y vont.", explique Claire Babet.
Mais même si les ateliers sont peu nombreux, la concurrence est rude, car les compétences et les moyens des uns et des autres sont quasiment équivalents : "On connaît parfaitement les chantiers, les prix des autres…"
Il s'agit alors de se démarquer par tous les moyens :